cartomancie gratuite : parfois ça rassure plus qu’une copine

Le voyant avait tiré trois cartes et il m’a mentionné que je vivais un truc qui s’appelait “le basculement”. Que c’était une opportunité où t’es entre deux informations, mais que t’as trop frousse de lâcher l’ancien. Il a présenté que je m’accrochais à un journalier qui me rassurait mais qui m’étouffait. Et c’était convenable ça. J’allais en cours, je faisais mes devoirs, je voyais mes potes, mais j’étais plus moi. Il a également parlé d’un truc que j’ai trouvé pendu : il m’a présenté que je devais relâcher de chercher des réponses chez les autres, que j’avais besoin de silence pour préférer ce que un individu je veux. Et là, j’ai compris pourquoi je me sentais acariâtreté : j’étais quotidien en train de me confronter, de préférer ensorceler, d'étudier ce que mes amies attendaient. J’avais apprécié mes réels souhaits à part. Et c’est un message gratuit qui m’a accords d'apprécier ça. Un message que j’attendais toutefois sans le savoir-faire.

J’avais posé une interrogation relativement vague, un truc par exemple “qu’est-ce qui bloque chez un personnage en ce instant ? ”. Et résultat, c’était pas juste une phrase bateau. Le voyant m’a révélé que en fonction de le tirage, j’étais dans une période de transition mais que je m’accrochais immensément à des trucs passés. Genre j’étais bloqué parce que je voulais tout maîtriser, alors que magnifiquement, j’avais la nécessité de lâcher. Il a présent des informations simples, mais irrésistibles. C’était par exemple s’il avait mis le filet pile où ça faisait amertume. Il m’a parlé entre autres de mon sphère, qu’il y avait des personnes qui me prenaient de l’énergie sans que je le perspective. Et j’me suis apprécié direct. T’as des individus dans ta naissance, tu t’en rends pas compte, mais ils t’empêchent voyance olivier d’avancer. Et j’crois que j’avais envie qu’on me le dise de l’extérieur. Et ce qui est ouf, on a que tout ça, c’était sans payer. Pas d’inscription relou, pas de spam. Juste un super message, formel, qui m’a contaminé.